L’opportunité de la semaine sur Anaxago vous permet d’entrer sur le marché du luxe à des prix historiquement bas (notamment suite aux annonces US cette semaine), l’occasion de diversifier votre portefeuille à travers des valeurs cotées qui représentent la quintessence du savoir faire à la française.
L’opportunité se présente sous la forme d’un produit structuré, logeable au sein de votre contrat d’assurance vie Anaxago Value. L’objectif de performance vise 10% par an et le dispositif de protection du capital a l’échéance vous permet de protéger votre investissement jusqu’à 50% de baisse de l’une des trois actions. Pour ceux d’entre vous qui n’avaient pas pu assister à notre webinaire dédié, vous pouvez en visionner le replay ici. Nous y reprenons tout le détail du mécanisme des produits structurés et leur intégration dans une gestion de patrimoine raisonnée.
L'événement majeur de cette semaine a été le lancement official des droits de douane imposés par Trump. Si je suis curieuse de savoir si cela aura un impact à long terme sur l'immigration hors des États-Unis, j’ai surtout adoré ce tweet de Ray Dalio qui explique point par point l’impact de cette politique à long terme sur l’économie américaine et les autres évolutions nécessaires au sein du pays pour pérenniser l’efficacité de ces premières mesures. L’intégralité du tweet peut se lire ici (attention c’est en anglais et c’est long). Mon mari (ce génie) a demandé à ChatGPT d’en faire un résumé à un lycéen et franchement le résultat n'est pas si mal, vous le trouverez ci-dessous.
Cette semaine, nous avons eu la joie d’accueillir dans nos bureaux le vernissage d’une artiste sculptrice et céramiste que j’adore. Ses nouvelles pièces et leur ensemble intitulés « KiDDY BANK ou L’ART D’iNVERSTiR » ont bluffé tous les convives, pleines de joies, d’imaginations et de détails. Le travail des textures est absolument ahurissant d’une pièce à l’autre. Les sculptures de Karine Dupont Borgnet sont réalisées en terre dans son atelier Bordelais, elles sont ensuite patinées, émaillées ou moulées pour en faire des tirages en résine ou en bronze. Et comme souvent avec Karine, la beauté des pièces va bien au-delà de leur esthétique et de leur humour certain, ses œuvres portent en elles une quête silencieuse, une demande d’attention à l’autre, à ce qui nous entoure et à ceux qui nous entourent. Et j’y ai retrouvé ainsi toute l’humanité qui caractérise cette artiste. Je vous invite à lire le texte merveilleux qui accompagnait l’exposition que j’ai reproduit ici. Et pour ceux d’entre vous que le sujet a intrigué, plusieurs pièces du vernissage seront visibles dans les bureaux parisiens d’Anaxago au cours des prochaines semaines.
Je n’ai pas encore eu le courage de visionner la série Adolescence qui fait apparemment un carton sur Netflix. Comme beaucoup de parents, je redoute d’être confrontée à ces histoires de dérives violentes liées aux réseaux sociaux qui caractérisent nos sociétés actuelles. Pour faire court, la série tournée en quatre plans séquences d’une heure chacun sans raccord visible (une prouesse artistique clairement) suit l’arrestation pour meurtre d’un adolescent que rien ne semble accuser. Les doutes sont vite levés et on entre dans la spirale de violence, sous les yeux ébahis des spectateurs, mais aussi des parents de l’adolescent. Tous ceux qui ont évoqué avec moi cette série, ont partagé leurs craintes face à la montée de ces mouvements dits « masculinistes » et cela m’a évoqué ce passionnant docu que j’ai adoré sur Arte : Viril. Idéal aussi inaccessible que frustrant, remis en cause par beaucoup, l'édifice viril se fissure aujourd’hui. Pourtant, ses défenseurs sont plus virulents que jamais. La série Viril (en trois petits épisodes) explore avec humour et recul les enjeux historiques, esthétiques, sociologiques - et passionnants - posés par la virilité et ses impasses. J'ai adoré.
Si je vous invite à diner un jour à ma table, il y a de fortes chances que vous mangiez beaucoup de poisson (au grand dam de mon petit frère qui a subi pendant 10 ans avant de me dire que ce n'était pas son truc). Le poisson, les crustacés et les coquillages sont foncièrement mes plats de prédilection. Et j’attendais avec impatience la sortie de ce livre, écrit par le chef du Tuba Club à Marseille (que je rêve de tester bien sûr). 336 pages et 1500 grammes de brise de mer, d’écume, de bateaux et chaluts rentrant au port, les cales débordantes de poissons frétillants, de pêcheurs, de cuisines improvisées, de rencontres et d’échanges, de carnets noircis de notes, de deux ans de voyages aux quatre coins du monde. Six chapitres, six escales, uniquement des villes portuaires : Marseille, Barcelone, Lisbonne, Naples, Tokyo, San Francisco. Le résultat est incroyable et à découvrir si le sujet vous intéresse même de loin !
ChatGPT et les droits de douane
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Imagine un château (un pays) qui met des barrières à son entrée :
Les droits de douane, c’est comme si le château mettait un péage à l’entrée pour chaque marchand étranger qui veut vendre ses produits à l’intérieur. Voici ce que ça provoque :
1. Le château gagne de l’argent.
Chaque marchand étranger paie le péage (et souvent, les habitants du château paient plus cher les produits à cause de ça). C’est un impôt malin : tout le monde paie un peu.
2. Mais tout devient moins efficace
Au lieu d’acheter ce qui est produit au meilleur prix à l’étranger, le château se complique la vie et paie plus cher pour des choses qui pourraient être faites mieux ailleurs.
3. Et ça dérègle la météo économique
• Pour le pays qui pose les barrières : ça fait monter les prix (inflation).
• Pour le pays qui subit les barrières : ça baisse la demande, donc il peut y avoir déflation (baisse des prix).
• Pour tout le monde : ça freine l’économie, comme un nuage de pluie froide au-dessus du commerce mondial.
4. Les entreprises locales sont protégées.
Comme les produits étrangers sont plus chers, les entreprises du château respirent mieux. Mais attention : comme elles sont moins poussées à faire mieux, elles peuvent s’endormir un peu sur leurs lauriers.
5. En temps de guerre ou de crise, c’est vital
Si une grande guerre éclate, le château veut être sûr de savoir produire tout ce dont il a besoin, sans dépendre des marchands étrangers. D’où l’intérêt de garder certaines compétences à l’intérieur.
6. Ça permet d’être moins dépendant
Moins acheter à l’étranger, moins emprunter à l’étranger = plus d’indépendance. Très utile en période de tensions internationales.
Mais attention : tout dépend aussi de ce que font les autres…
Il y a des conséquences indirectes, comme dans un jeu d’échecs :
• Si l’autre château met aussi des péages ? C’est la guerre commerciale : tout le monde perd.
• Si les banques centrales réagissent (baisse ou hausse des taux) ? Ça peut amortir ou empirer les effets.
• Si les gouvernements dépensent plus ou moins ? Même chose : les règles du jeu changent.
En toile de fond : un monde qui doit se rééquilibrer
Aujourd’hui, il y a trop de dettes, trop de déséquilibres, trop de dépendance entre pays.
Il va falloir remettre à plat le système, et ça risque d’être brutal et inhabituel.
Dernière image pour résumer :
Les droits de douane, c’est un peu comme mettre un filtre à l’entrée du château.
Ça peut rapporter de l’or, protéger les artisans locaux, mais aussi ralentir les échanges et dérégler l’écosystème. Et si tout le monde commence à poser ses filtres, la rivière du commerce mondial coule moins bien pour tout le monde.
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