Cette semaine, une nouvelle opportunité à venir sur Anaxago : lancement imminent d’un nouveau produit immobilier en partenariat avec une belle société de gestion.
Le produit fait l’objet distribution trimestrielle, dispose d’une fiscalité optimisée et a offert une performance nette 2023 et 2024 supérieure à 7%/an. Si le dossier est susceptible de vous intéresser, prenez contact avec votre conseiller directement ici.
Comme tous les ans, France Fintech sort son bilan. Et je n’ai pas trouvé mieux que les mots de notre Président, Alain Clot, pour décrire cette année d’efforts et de résilience en forme de croissance. « Bon, maintenant, on peut le dire : la fintech française a globalement fait une bonne année. Une très bonne année même. L'activité a continué à progresser et la rentabilité également. Ayant réussi à convaincre les investisseurs (1,3 milliard de levées, +26%) et les prêteurs, elle a investi, recruté et étendu son réseau hors de France. Elle a poursuivi sa consolidation et conforté sa position de leader de l'UE. On reste bien sûr modestes (on est encore derrière nos amis anglais et pas encore au niveau des géants de la tech) et prudents (l'environnement est particulièrement incertain). Mais nous ne boudons pas notre plaisir et gardons le cap pour donner à notre pays et à l'Europe les champions qu'ils méritent. Bravo à nos 1 145 entreprises, à nos 54 000 salariés (dont 45 000 en France) et merci à nos clients, partenaires, investisseurs et fournisseurs. Merci à Bpifrance, aux collectivités territoriales, aux régulateurs et aux services de l'État pour le soutien ». Ce bilan est le fruit d'un gros travail de l'équipe de France FinTech. Nous espérons qu'il vous intéressera.
Ça, c'était pour les bravos. De l’autre côté, il y a les fermetures d’entreprises qui pincent plus le cœur que d’autres, celle du site Epicery en fait partie. Même si pour mon mari, ils avaient réussi l’exploit de faire passer le prix des 500g au prix du kg, cette plateforme de livraison était sans doute la seule en France à promouvoir commerçants et artisans locaux, permettant une consommation beaucoup plus ancrée dans son environnement et le tout sans de levées de fonds astronomiques et injustifiables. Mais l’entreprise n’est jamais parvenue à rentabiliser son modèle. Elle ferme aujourd’hui en recommandant le site pourdebon.com pour ceux qui souhaiteraient continuer à soutenir producteurs et artisans français, car soutenir ces modèles, c'est avancer vers de vrais modèles d’entreprises durables, car centrés sur le local et ça, c'est notre responsable RSE qui me l’a appris.
L’avantage d’avoir quelqu’un d’aussi bien câblé sur des sujets aussi importants que la RSE c’est que l’on a aussi droit à une veille interne active. Et ce sujet m’a attiré l’œil cette semaine : à ce jour, seul le secteur de l’énergie respecte les objectifs de la planification, les autres "sont en retard". Un constat du SGPE (Secrétariat Général à la Planification Écologique) qui a sorti une infographie sectorielle détaillée dans l'Article AEF Info.
Les livres me passionnent, depuis la chèvre de Monsieur Seguin (apprise par cœur à 5-6 ans et récitée fièrement à qui voulait l’entendre en tenant le livre à l’envers bien sûr…) jusqu’aux essais dont j’inonde mes connaissances (j’ai choisi celui-ci pour les vœux de cette année), ma consommation de livres me questionne donc. Pourtant, elle a été divisée par plus de deux depuis la naissance de mes enfants : la sentence de mon Kindle est tombée l’autre jour, à peine 37 livres lus cette année versus la moyenne de 80 par an avant 2021… Tout ça pour dire que j’étais ravie de découvrir qu’une librairie d’occasion d’un nouveau genre vient d’ouvrir dans le 11ᵉ arrondissement de Paris. Enseigne de proximité déjà bien installée en Espagne avec une cinquantaine d’adresses, cette première française Re-Read se veut ancrée dans son quartier. Avec déjà 10 000 références, elle fonctionne sur le principe du prix unique : 25 centimes à l’achat et 4€ le livre à la revente. Une bonne nouvelle pour les grands lecteurs qui s’interrogent sur leur empreinte carbone. Entre cet endroit et le marché aux livres du parc George Brassens j’ai trouvé mes deux pérégrinations du weekend prochain.
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